Les deux cafés-concerts les plus connus et qui avaient le plus de succès étaient Le Chat Noir et Les Folies-Bergère. Le Chat Noir etait un des premiers cabarets artistiques crée par Rudolphe Salis, qui était un Bohémien étudiant d'art. Né à Vienne, il était attiré à Paris par ses mythes de vie "bohémienne." Il a remarqué que Montmartre et son voisinage devenaient les endroits les plus populaires pour les artistes, les intellectuels, les amoureux de plaisir, et les touristes. Alors, en décembre 1881, Salis a ouvert un cabaret artistique sur le Boulevard Rochechouart. Pour retenir tous ces gens, il l'a décoré dans le style de Louis XIII. On y voyait des casseroles de cuivre, des artilleries anciennes, des étains et des meubles de chêne. Pendant la remise à neuf du batiment, Salis a trouvé un chat noir perdu sur le trottoir devant le cabaret. C'est ainsi que Salis a adopté le nom Le Chat Noir (Rudorff 70-71).
Comme Le Chat Noir a prospèrait, Salis l'a transféré à un autre local plus grand, à trois étages, sur la rue de Laval (maintenant Rue Victor Masse). Salis a fait décorer ce nouveau lieu, de façon plus belle, dans un style pseudo-historique. Les décors étaient les plus émouvants et innovatifs des illustrateurs tels que Henri Rivière et Caran D'Ache. De plus, il a fait séparer les salles et il leur a donné des noms spéciaux. Par exemple, "l'institut" était réservé pour les artistes qui fréquentaient le café (Rearick 58). Les artistes étaient tels qu' Emile Goudeau et sa société savante Les Hyropathes, qui ont augmenté les adhérents de 30 à 200 pendant qu'ils se rencontraient dans Le Chat Noir. D'autres individus célèbres étaient l'illustrateur et peintre Willette, l'humoriste Alphonse Allais et les poètes Charles Cros, Albert Samain et Jean Richepin (Rudorff 73 &Rearick 55-56). En plus de la présence de ces artistes connus, Salis a attiré sa clientèle par son journal, appelé aussi Le Chat Noir, qui offrait la même variété et pot-pourri des arts et divertissements que le cabaret lui-même (Rearick 60). La participation des artistes et le journal, tous les deux constituants, ont assuré à Salis le succès du Chat Noir.
En donnant aux gens un asile du monde du travail, Salis a accueilli les clients (des dames de la societé, touristes, banquiers, médecins, artistes, journalistes, etc...) avec la politesse baroque et leur parlait avec une vénération élégante et raffinée. Au Chat Noir, Salis offrait à ces gens-là des artistes et des divertissement les plus connus. Par exemple, Aristide Bruant écrivait et chantait ainsi que Jules Jouy sur la prostitution et la pauvreté. Il y avaient des divertissement et des oeuvres sentimentales, romantiques et patriotiques, des spectacles théâtraux et religieux comme l'histoire qui raconte la vie de Sainte Geneviève (Rearick 59-60).
Au Chat Noir, Salis transmettait l'illusion théâtrale au public. Pourtant, il y avait plus de spontanéité et d'interaction entre le public et le spectacle. Pendant que tout le monde, les clients et les artistes, s'amusaient dans le cabaret, ils y créaient une atmosphère de contre bourgeoisie o les plaisanterie visaient la société, les politiciens, les riches et le demi-monde (Rudorff 74).
Vers la décennie du siècle, la mauvaise situation économique a fait la joie sembler vulgaire, disait Jouy ('joy appear vullgar,' cité par Rearick 71). La clientèle diminuait et les divertissements disparaissaient. A cause de tout cela, Le Chat Noir a fermé en 1887. Mais heureusement, Les Folies-Bergere continuait à être ouvert jusqu'au deebut du vingtième siècle.
Aux Folies-Bergere, le prix de l'entrée, deux francs, était un peu élevé pour un café- concert, mais ce qu'on trouvait à l'intérieur a continué à attirer les gens de toute sorte. AuxFolies- Bergere, on a remarqué qu'on jouissait "d'une espèce de liberté et de franchise à l'ameericaine" (Rearick 93). Ici, on gardait son chapeau sur la tête et on n'avait pas besoin de s'habiller céreemonieusement.
Comme beaucoup de cafees-concerts, Les Folies-Bergère présentait des numéros variés qui pouvaient attirer l'attention. On avait des chanteurs et des danseurs, des jongleurs et des clowns, mais parfois ce n'étaient pas les actes dont on se souvenait. Souvent, c'étaient les bizarreries qui faisaient parler les gens. Aux Foles-Bergère, on avait le Kangourou Boxeur et la famille Birmane, qui avait tous des barbes. On avait aussi des numéros de cirque qui épataient les spectateurs. Les clients aimaient le danger du trapèze et des lions qui tuaient parfois l'artiste du trapèze ou le dompteur.
Pourtant, il existait aussi d'autres formes de divertissement, pas sur la scène, mais parmi les spectateurs. Les clients des Folies-Bergère pouvaient s'amuser en se promenant sur le promenoir du hall. Là, on pouvait rencontrer des amis ou chercher une prostituée. On avait le droit de parler, de fumer, de manger quand on voulait. Le client avait la liberté de partir n'importe quand. On ne faisait pas toujours attention au spectacle et on l'interrompait, mais comme l'écrivain Roland Barthes a remarqué, on s'y attendait (Rearick 153).
En 1903, Les Folies-Bergère a commencé à augmenter le prix de l'entrée et juste avant la Deuxième Guerre Mondiale il était de dix francs. Il est devenu difficile pour les ouvriers de s'amuser aux Folies-Berrgère, et bientô:t, ce n'étaient que les riches qui pouvaient jouir du café- concert le plus célèbre.
Les Folies-Bergère et Le Chat Noir étaient tous les deux des cabarets les plus connus. Ils faisaient restaurants, théâatres, cafés, cafés-concerts, cabarets artistique commerciaux. C'étaient des centres o les gens de toutes sortes et de foules de classes sociales se rencontraient et s'amusaient pendant une "Belle Epoque."
Bibliographie
Rearick, Charles; Pleasures of the Belle Epoque New Haven: Yale University Press, 1985.
Rudorff, Raymond; The Belle Epoque New York: Saturday Review Press, 1972.